L’association soutient que son comptable salarié n’avait pas le pouvoir de la représenter durant les opérations de contrôle et que l’URSSAF a manqué au respect de ses droits ce qui doit entraîner la nullité du redressement. Pratiquement, aucun texte n’impose à l’inspecteur du recouvrement qui effectue son contrôle dans les locaux même du cotisant de s’assurer qu’un mandat de représentation a été consenti à la personne qui le reçoit lors des opérations de vérification (Rouen, Chambre sociale et des affaires de sécurité sociale, 11 décembre 2019, RG n° 17/03456)