On apprend par le journal La Nouvelle République que « la CPME via ses groupements de prévention agréés et l’Urssaf travaillent main dans la main », le but étant d’aider les entreprises « quand elles ont des difficultés » (https://www.lanouvellerepublique.fr/blois/loir-et-cher-l-urssaf-premier-lanceur-d-alerte-des-entreprises-en-difficulte).
Super, enfin un syndicat patronal qui semble défendre les chefs d’entreprise dans les cadre des redressements URSSAF (90% des PME contrôlées)…. ! Sauf que ce n’est pas tout à fait cela et qu’il ne faut pas rêver. Cela ne concerne que les demandes de délais de paiement ou les remises de majorations de retard pour les entreprises en difficulté…Et là l’action des syndicats patronaux n’est guère indispensable sachant que les URSSAF accordent facilement ce type de demande qui ne leur coûte pas très cher …. En revanche, pour l’appui de ces syndicats en cas de contrôle, là où les représentants des entreprises pourraient VRAIMENT avoir mener une action efficace au service des entreprises, il faut encore attendre…