Par le journal Ouest France, on apprend que « la pandémie et les confinements n’ont pas empêché l’URSSAF de poursuivre la lutte contre le travail illégal… ». En 2020, en Pays de Loire, 21,5 millions d’euros auraient été prélevés aux fraudeurs. Et à l’article d’ajouter que « les inspecteurs ont adapté leurs méthodes au confinement » (https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/pays-de-la-loire-travail-illegal-21-5-millions-preleves-aux-fraudeurs-61b54f2e-d8fa-11eb-ae1f-fb64142a4f8c).

Un peu plus loin dans cet écrit, il est indiqué que l’organisme s’inscrit en faux contre une idée tenace : « L’Urssaf ne pratique que la répression ! On ne discute pas avec l’Urssaf… ».

Le problème, c’est que non seulement nous sommes d’accord avec cette idée mais nous sommes même disposés à la défendre lors d’un débat avec des représentants de cet cet organisme.

Faut-il rappeler que pour l’URSSAF constitue du travail illégal (et sur ce point nous ne faisons que recenser la jurisprudence !) le cas de « Mamie Bistro » qui aide bénévolement son conjoint dans un café, le client du bar qui vient rapporter son verre au comptoir, l’entraide entre voisins, la personne qui vient aider son frère sur un marché, le fait de payer des heures sup’ en primes exceptionnelles, les bénévoles qui aident au festival des Francofolies, moyennant les repas et un pass gratuit…) ?

Quant à l’absence de discussion, comment faut il qualifier le fait de ne pouvoir défendre son dossier devant la commission de recours amiable….. ?

Franchement, en matière de dialogue, on fait mieux… ! #URSSAF

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